Adhérer
Phyteuma orbiculare - Raiponce orbiculaire
Lobelia urens - Lobélie brûlante
Cistus umbellatus - Hélianthème à bouquets
Meloe - Méloé
Polyommatus icarus - Azuré de la Bugrane
Aglais urticae - Petite Tortue
Anemona pulsatilla - Pulsatille vulgaire
Aegithalos caudatus - Mésange à longue queue
Boloria selene - Petit Collier argenté
Pipistrellus pipistrellus - Pipistrelle commune
Lestes virens - Leste verdoyant
Phylloscopus collybita - Pouillot véloce
Lacerta agilis - Lézard des souches
Vipera berus - Vipère péliade
Hipparchia fagi - Sylvandre
Sorbus latifolia - Alisier de Fontainebleau
Ophrys apifera - Ophrys abeille
Phylloscopus bonelli - Pouillot de bonelli
Hirundo rustica - Hirondelle de cheminée
Gomphus pulchellus - Gomphe gentil
Gomphus vulgatissimus - Gomphe vulgaire
Leptidea sinapsis - Piéride de la moutarde
Libelloides coccajus - Ascalaphe soufré
Oxythyrea funesta - Cétoine grise
Pyrochroa serraticornis - Cardinal rouge
Dendrocopos medius - Pic mar
Anemone nemorosa - Anémone des bois
Erodium cicutarium - Bec de grue
Orchis militaris - Orchis militaire
Prunus spinosa - Épine noire
Ulmus laevis - Orme lisse
Vinca minor - Petite pervenche
Bombylius & Veronica
Brachytron pratense - Aeschne printanière
Glaucopsyche alexis - Azuré des Cytises
Pisaura mirabilis - Pisaure admirable
Aiolopus thalassinus - Oedipode émeraudine
Arctia caja - Ecaille Martre
Carterocephalus palaemon - Hespérie du Brome
Chorthippus vagans - Criquet des Pin
Coccinella septempunctata - Coccinelle à 7 points
Coenagrion scitulum - Agrion mignon
Gomphus pulchellus - Gomphe gentil
Gryllus campestris - Grillon champêtre
Lestes dryas - Leste des bois
Libellula fulva - Libellule fauve
Mantis religiosa - Mante religieuse
Myrmeleotettix maculatus - Gomphocère tacheté
Oxygastra curtisii - Cordulie à corps fin
Plebejus argyrognomon - Azuré des Coronilles
Satyrium pruni - Thécla du Prunier
Siona lineata - Phalène blanche
Sympetrum danae - Sympétrum noir
Trypocopris vernalis - Bousier
Anas acuta - Canard pilet
Acrocephalus schoenobaenus - Phragmite des joncs
Betula pubescens - Bouleau blanc
Cephalanthera rubra - Céphalanthère rouge
Cuscuta epithymum - Cuscute à petites fleurs
Tuberaria guttata - Hélianthème taché
Argiope bruennichi - Argiope frelon
Phalangium opilio - Opilion
Plebejus argus - Azuré de l'Ajonc
Leucanthemum vulgare - Marguerite
Himantoglossum hircinum - Orchis bouc
Coenagrion mercuriale - Agrion de mercure
Veronica austriaca - Véronique d'Autriche
Melitaea cinxia - Mélitée du plantain
Chorthippus brunneus - Criquet duettiste
Melitaea athalia - Mélitée du Mélampyre
Dianthus armeria - Oeillet velu
Bufo calamita - Crapaud calamite
Lotus corniculatus - Lotier corniculé
Pseudopanthera macularia - Panthère
Carterocephalus palaemon - Hespérie du Brome
Veronica spicata - Véronique en épi
Orthetrum coerulescens - Orthétrum bleuissant
Carcharodus alceae - Hespérie de l'Alcée
Orthetrum albistylum - Orthetrum à stylets blancs
Adscita sp.
La Voulzie
Viola elatior - Violette élevée
Phelipanche purpurea - Orobanche pourprée
Ophrys fuciflora - Ophrys bourdon
Zygaena filipendulae - Zygaena de la filipendule
Tetrix tenuicornis - Tetrix des carrières
Syrphe
Panorpa vulgaris
Ophrys apifera - Ophrys abeille
Libellula depressa - Libellule déprimée
Gomphus vulgatissimus - Gomphus vulgaire
Calopteryx virgo - Calopteryx vierge
Mare de raboliot
Plaine de Macherin
Spiranthes spiralis - Spiranthe d'automne

Sommaire du bulletin n° 88 – 3 – 2012

Bull_88_3_2012

GÉOMORPHOLOGIE

– Évolution géomorphologique périglaciaire du Massif de Fontainebleau par Médard Thiry et Marie Nieves Liron, p. 102

Résumé : Les marques de l’action éolienne sont nombreuses dans le Massif de Fontainebleau. Ce sont divers dépôts reconnus antérieurement : dunes, limons et grèzes. Mais aussi des marques d’érosion qui n’avaient guère retenu l’attention : alvéoles vidées par le vent, couloirs d’érosion kilométriques, dénudation de platières avec évidement de dépressions à l’origine des mares. Ces actions éoliennes ont contribué à différencier la façade occidentale au vent avec des reliefs plus vifs et plus ciselés, des chaos rocheux plus dégagés, des versants de sables nus. En revanche dans les parties orientales sous le vent, les reliefs sont moins vifs, les escarpements des platières et les chaos rocheux sont plus « empâtés » dans le sable et les platières y ont une couverture sableuse plus importante. Les dispositions héritées des actions éoliennes influent profondément sur la nature des sols et la biodiversité du Massif.

BRYOLOGIE

Étude spatio-temporelle des sphaignes d’Ile-de-France par Aubane Nardetto et Sébastien Leblond, p. 119

Résumé : Vingt-quatre espèces de sphaignes ont été dénombrées en Ile-de-France depuis la fin du 19e siècle. Six d’entre elles n’ont pas été revues récemment. La compilation des données actuellement disponibles (herbiers et bibliographie) permet de cartographier la répartition de chaque espèce. L’ensemble des informations reflète l’état actuel de la  connaissance sur la répartition de ces taxons. Pour la grande majorité des espèces, le nombre de communes est en diminution. Au-delà d’une absence de prospection systématique des stations anciennement mentionnées, la disparition progressive des biotopes favorables à ces espèces est le paramètre explicatif prépondérant. L’urbanisation croissante de la région ainsi que l’évolution intrinsèque des zones humides, comme l’assèchement (naturel ou par drainage), la dynamique de fermeture des milieux, l’abandon des pratiques pastorales (pâturage extensif en bas-marais), l’eutrophisation de bas-marais conduisent à restreindre ces espèces.

 

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